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Photo – Euro 2016: la profession attend le respect de la loi 18/04/16 Les professionnels cafetiers, hôteliers, restaurateurs en ont ras-le-bol : ras-le-bol du matraquage fiscal ; ras-le- bol de l’accumulation de nouvelles normes ; ras-le-bol du développement d’activités illégales sans garde-fous permettant un meilleur encadrement et une concurrence saine et équitable entre TOUS les acteurs. La loi de finances 2015 permet aux plateformes de collecter la taxe de séjour au nom des hébergeurs. Aujourd’hui, seule seule Airbnb s’est engagée à le faire à Paris et Chamonix, mais dans l’opacité la plus totale sur le nombre de transactions effectuées, l’identité des propriétaires, etc. De plus, selon un rapport sénatorial, seuls 15%!d(MISSING)es loueurs déclarent leurs revenus à l’administration fiscale. Cette hôtellerie déguisée n’est soumise à aucune nouvelle norme alors que pendant ce temps, nos professions (cafés, hôtels, restaurants) subissent 1 nouvelle règle tous les 3 jours ! Des centaines de normes s’appliquent à nos entreprises … loin de la simplification. Des normes dont la visibilité pour nos clients est nulle.En France, rien n’est fait pour encadrer l’activité de la location meublée à la nuitée afin d’imposer la transparence, rétablir une concurrence saine et empêcher les dérives. Parallèlement, Abritel-Homeaway (Groupe Expedia) annoncent un partenariat avec l’UEFA pour l’Euro 2016 alors que la plateforme n’a, à ce jour, pris aucun engagement avec les 10 métropoles accueillant les compétitions sur la collecte de la taxe de séjour. Nous appelons solennellement les exécutifs locaux et nationaux à mettre fin à cette iniquité fiscale, en particulier dans les communes concernées. Nous demandons l’égalité de tous les contribuables devant les charges publiques. Notre action Les hôteliers ont décidé d’agir : Ceux des 10 villes hôtes de la compétition ont décidé de consigner à partir du 10 juin 2016, et pendant toute la durée de la compétition, le montant collecté la taxe de séjour. Concrètement, les hôteliers continueront de collecter la taxe, mais la consigneront en attendant que tous les acteurs du tourisme, conformément à la loi, collectent eux-aussi la taxe de séjour et la reversent aux collectivités. Il est temps de reconnaitre le poids, l’importance de nos activités, de nos salariés, et de prendre en compte notre action qui est un signal d’alerte, d’urgence, et de ras-le-bol fort. L’UMIH et le GNC soutiennent cette démarche et aident les hôteliers concernés à assurer la meilleure transparence, efficacité, sécurité, sur cette consigne. Il est bon de rappeler que 95 %!d(MISSING)e la taxe de séjour est actuellement collectée par l’Hôtellerie qui n’héberge que 50 %!d(MISSING)es touristes. Les 5 %!r(MISSING)estant sont collectés par d’autres types d’hébergement. Nos professionnels sont tournés vers l’accueil et vers la promotion de la destination France. L’action n’affectera pas les touristes en vacances en France pendant l’Euro 2016. Cette action a un seul objectif : la transparence du système qui sous couvert de collaboratif est opaque. Cette action fiscale est la première étape d’un rééquilibrage entre les différents acteurs. Nos revendications Nous demandons l’égalité de tous les contribuables devant les charges publiques. Le Gouvernement français doit prendre des mesures nationales pour imposer la transparence, empêcher les dérives et restaurer une concurrence saine. A l’identique, de l’Allemagne, de la Belgique. A l’identique de Barcelone, de New York. Nous demandons: L’inscription obligatoire de tous les loueurs (résidence principale et secondaire) sur un registre, et l’obligation pour les plateformes d’afficher le numéro d’enregistrement. Cette mesure permettra un contrôle efficace des locations et plus de transparence pour le visiteur. La distinction entre loueurs professionnels et particuliers La déclaration automatique des revenus à l’administration fiscale Enfin, nous nous opposons à toute nouvelle norme pour notre secteur. Ces normes ne doivent pas être si indispensables pour le client puisqu’elles ne sont pas imposées aux autres acteurs exerçant les mêmes activités (chambres d’hôtes, meublés de tourisme, location de particuliers, buvette, repas à domicile, free party,etc.)
Euro 2016: la profession attend le respect de la loi 18/04/16 Les professionnels cafetiers, hôteliers, restaurateurs en ont ras-le-bol : ras-le-bol du matraquage fiscal ; ras-le- bol de l’accumulation de nouvelles normes ; ras-le-bol du développement d’activités illégales sans garde-fous permettant un meilleur encadrement et une concurrence saine et équitable entre TOUS les acteurs. La loi de finances 2015 permet aux plateformes de collecter la taxe de séjour au nom des hébergeurs. Aujourd’hui, seule seule Airbnb s’est engagée à le faire à Paris et Chamonix, mais dans l’opacité la plus totale sur le nombre de transactions effectuées, l’identité des propriétaires, etc. De plus, selon un rapport sénatorial, seuls 15%!d(MISSING)es loueurs déclarent leurs revenus à l’administration fiscale. Cette hôtellerie déguisée n’est soumise à aucune nouvelle norme alors que pendant ce temps, nos professions (cafés, hôtels, restaurants) subissent 1 nouvelle règle tous les 3 jours ! Des centaines de normes s’appliquent à nos entreprises … loin de la simplification. Des normes dont la visibilité pour nos clients est nulle.En France, rien n’est fait pour encadrer l’activité de la location meublée à la nuitée afin d’imposer la transparence, rétablir une concurrence saine et empêcher les dérives. Parallèlement, Abritel-Homeaway (Groupe Expedia) annoncent un partenariat avec l’UEFA pour l’Euro 2016 alors que la plateforme n’a, à ce jour, pris aucun engagement avec les 10 métropoles accueillant les compétitions sur la collecte de la taxe de séjour. Nous appelons solennellement les exécutifs locaux et nationaux à mettre fin à cette iniquité fiscale, en particulier dans les communes concernées. Nous demandons l’égalité de tous les contribuables devant les charges publiques. Notre action Les hôteliers ont décidé d’agir : Ceux des 10 villes hôtes de la compétition ont décidé de consigner à partir du 10 juin 2016, et pendant toute la durée de la compétition, le montant collecté la taxe de séjour. Concrètement, les hôteliers continueront de collecter la taxe, mais la consigneront en attendant que tous les acteurs du tourisme, conformément à la loi, collectent eux-aussi la taxe de séjour et la reversent aux collectivités. Il est temps de reconnaitre le poids, l’importance de nos activités, de nos salariés, et de prendre en compte notre action qui est un signal d’alerte, d’urgence, et de ras-le-bol fort. L’UMIH et le GNC soutiennent cette démarche et aident les hôteliers concernés à assurer la meilleure transparence, efficacité, sécurité, sur cette consigne. Il est bon de rappeler que 95 %!d(MISSING)e la taxe de séjour est actuellement collectée par l’Hôtellerie qui n’héberge que 50 %!d(MISSING)es touristes. Les 5 %!r(MISSING)estant sont collectés par d’autres types d’hébergement. Nos professionnels sont tournés vers l’accueil et vers la promotion de la destination France. L’action n’affectera pas les touristes en vacances en France pendant l’Euro 2016. Cette action a un seul objectif : la transparence du système qui sous couvert de collaboratif est opaque. Cette action fiscale est la première étape d’un rééquilibrage entre les différents acteurs. Nos revendications Nous demandons l’égalité de tous les contribuables devant les charges publiques. Le Gouvernement français doit prendre des mesures nationales pour imposer la transparence, empêcher les dérives et restaurer une concurrence saine. A l’identique, de l’Allemagne, de la Belgique. A l’identique de Barcelone, de New York. Nous demandons: L’inscription obligatoire de tous les loueurs (résidence principale et secondaire) sur un registre, et l’obligation pour les plateformes d’afficher le numéro d’enregistrement. Cette mesure permettra un contrôle efficace des locations et plus de transparence pour le visiteur. La distinction entre loueurs professionnels et particuliers La déclaration automatique des revenus à l’administration fiscale Enfin, nous nous opposons à toute nouvelle norme pour notre secteur. Ces normes ne doivent pas être si indispensables pour le client puisqu’elles ne sont pas imposées aux autres acteurs exerçant les mêmes activités (chambres d’hôtes, meublés de tourisme, location de particuliers, buvette, repas à domicile, free party,etc.)
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Photo – Projet de loi EL-KHOMRI : NON au renchérissement des contrats saisonniers 07/04/16 Certains amendements au projet de loi pour de nouvelles libertés et de nouvelles protections pour les entreprises et les actifs, actuellement en discussion en commission des Affaires sociales de l’Assemblée nationale, envisagent l’instauration d’une compensation financière pour les contrats saisonniers en cas de non-reconduction d’une année sur l’autre. L’UMIH s’inquiète de l’adoption d’un tel dispositif qui entrainerait l’accroissement des charges, la baisse de compétitivité, la diminution des marges et par voie de conséquence de l’investissement, pourtant primordial à l’avenir de nos établissements. Pourquoi imposer encore de nouvelles obligations aux employeurs de travailleurs saisonniers et compromettre la pérennité de ces entreprises saisonnières déjà fragilisées par le contexte économique actuel ? Le caractère saisonnier de nos entreprises n’est pas un choix mais une adaptation nécessaire à l’environnement, aux variations saisonnières et notamment à la situation géographique (stations de sport d’hivers, stations balnéaires…). Ces particularismes rendent les entreprises HCR plus sensibles que les autres aux aléas climatiques, économiques, politiques. C’est pourquoi notre profession a recours à des contrats saisonniers, qui ne sont pas une solution temporaire à un problème transitoire. Il ne s’agit en aucun cas « d’emploi précaire » mais cela correspond à un véritable métier qui représente 80%!d(MISSING)es effectifs de ce secteur saisonnier. De nombreux salariés et jeunes collaborateurs optent pour ce cadre de travail et y voient l’opportunité d’acquérir et enrichir leur expérience. Ce dispositif provoque une vive inquiétude et un tollé parmi les professionnels saisonniers. vouloir compenser le contrat saisonnier est irresponsable et immature, cela créera encore plus de précarité pour l’entreprise et pour le salarié par un effet domino de réduire la période d’ouverture et la durée du contrat saisonnier Si le Gouvernement soutient cette mesure, il prendra l’entière responsabilité des conséquences directes sur l’emploi et sur la fragilisation des entreprises ! ». Roland Héguy, Président confédéral de l’UMIH indique : « nous le répétons à nouveau, le tourisme est un fleuron de notre économie et nos entreprises participent pleinement à son dynamisme. Il est faux de croire qu’une compensation sur ces contrats saisonniers opèrera une transformation en contrat à durée indéterminée. Ce n’est pas en surtaxant nos entreprises que l’on créera de l’emploi et des richesses dans nos territoires ». L’UMIH demande aux députés de rejeter ces amendements lors de leur examen par la Commission des Affaires sociales.
Projet de loi EL-KHOMRI : NON au renchérissement des contrats saisonniers 07/04/16 Certains amendements au projet de loi pour de nouvelles libertés et de nouvelles protections pour les entreprises et les actifs, actuellement en discussion en commission des Affaires sociales de l’Assemblée nationale, envisagent l’instauration d’une compensation financière pour les contrats saisonniers en cas de non-reconduction d’une année sur l’autre. L’UMIH s’inquiète de l’adoption d’un tel dispositif qui entrainerait l’accroissement des charges, la baisse de compétitivité, la diminution des marges et par voie de conséquence de l’investissement, pourtant primordial à l’avenir de nos établissements. Pourquoi imposer encore de nouvelles obligations aux employeurs de travailleurs saisonniers et compromettre la pérennité de ces entreprises saisonnières déjà fragilisées par le contexte économique actuel ? Le caractère saisonnier de nos entreprises n’est pas un choix mais une adaptation nécessaire à l’environnement, aux variations saisonnières et notamment à la situation géographique (stations de sport d’hivers, stations balnéaires…). Ces particularismes rendent les entreprises HCR plus sensibles que les autres aux aléas climatiques, économiques, politiques. C’est pourquoi notre profession a recours à des contrats saisonniers, qui ne sont pas une solution temporaire à un problème transitoire. Il ne s’agit en aucun cas « d’emploi précaire » mais cela correspond à un véritable métier qui représente 80%!d(MISSING)es effectifs de ce secteur saisonnier. De nombreux salariés et jeunes collaborateurs optent pour ce cadre de travail et y voient l’opportunité d’acquérir et enrichir leur expérience. Ce dispositif provoque une vive inquiétude et un tollé parmi les professionnels saisonniers. vouloir compenser le contrat saisonnier est irresponsable et immature, cela créera encore plus de précarité pour l’entreprise et pour le salarié par un effet domino de réduire la période d’ouverture et la durée du contrat saisonnier Si le Gouvernement soutient cette mesure, il prendra l’entière responsabilité des conséquences directes sur l’emploi et sur la fragilisation des entreprises ! ». Roland Héguy, Président confédéral de l’UMIH indique : « nous le répétons à nouveau, le tourisme est un fleuron de notre économie et nos entreprises participent pleinement à son dynamisme. Il est faux de croire qu’une compensation sur ces contrats saisonniers opèrera une transformation en contrat à durée indéterminée. Ce n’est pas en surtaxant nos entreprises que l’on créera de l’emploi et des richesses dans nos territoires ». L’UMIH demande aux députés de rejeter ces amendements lors de leur examen par la Commission des Affaires sociales.
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Photo – ÊTES-VOUS EN POSSESSION D’UN SYSTÈME D’ENCAISSEMENT CERTIFIÉ ? L’article 88 de la loi des finances n° 2015-1785 du 29 décembre 2015 sollicite tous les commerçants à s’équiper, avant le 1er janvier 2018, d’un système d’encaissement sécurisés et certifiés. A compter de cette date, le commerce ne répondant pas à cette obligation sera passible d’une amende de 7500 € par système ou logiciel non certifié et sera contraint de s’équiper dans les 60 jours. Si la conformité n’est toujours pas établie dans ce délai imparti, une amende de 7500 € sera à nouveau dressée dans les mêmes conditions. Outre la certification, une attestation individuelle délivrée par l’éditeur du système d’encaissement peut également accréditer de la conformité du matériel utilisé par le commerçant. Cependant, il est nécessaire de souligner que la réglementation relative à l’attestation individuelle est encore imprécise. Vous équiper d’un matériel certifié NF 525 reste la solution la plus sécurisante. Quel est l’avantage d’un matériel certifié NF525 ? Délivrée par AFNOR Certification, la marque NF 525 a pour principal objectif de faire reconnaître la qualité et la sécurité des produits, notamment au regard de l’inaltérabilité et la sécurisation des données enregistrées. Opter pour un système d’encaissement certifié NF 525, c’est avoir la garantie de disposer d’un matériel reconnu sur le marché, de qualité et conforme à la nouvelle réglementation fiscale. La certification a également l’avantage de lever toute suspicion. JDC S.A vous accompagne Nous vous fournissons des solutions complètes et certifiées. Tous les sytèmes d’encaissement dédiés aux cafés, hôtels et restaurants que commercialise JDC S.A possèdent la certification NF 525.
ÊTES-VOUS EN POSSESSION D’UN SYSTÈME D’ENCAISSEMENT CERTIFIÉ ? L’article 88 de la loi des finances n° 2015-1785 du 29 décembre 2015 sollicite tous les commerçants à s’équiper, avant le 1er janvier 2018, d’un système d’encaissement sécurisés et certifiés. A compter de cette date, le commerce ne répondant pas à cette obligation sera passible d’une amende de 7500 € par système ou logiciel non certifié et sera contraint de s’équiper dans les 60 jours. Si la conformité n’est toujours pas établie dans ce délai imparti, une amende de 7500 € sera à nouveau dressée dans les mêmes conditions. Outre la certification, une attestation individuelle délivrée par l’éditeur du système d’encaissement peut également accréditer de la conformité du matériel utilisé par le commerçant. Cependant, il est nécessaire de souligner que la réglementation relative à l’attestation individuelle est encore imprécise. Vous équiper d’un matériel certifié NF 525 reste la solution la plus sécurisante. Quel est l’avantage d’un matériel certifié NF525 ? Délivrée par AFNOR Certification, la marque NF 525 a pour principal objectif de faire reconnaître la qualité et la sécurité des produits, notamment au regard de l’inaltérabilité et la sécurisation des données enregistrées. Opter pour un système d’encaissement certifié NF 525, c’est avoir la garantie de disposer d’un matériel reconnu sur le marché, de qualité et conforme à la nouvelle réglementation fiscale. La certification a également l’avantage de lever toute suspicion. JDC S.A vous accompagne Nous vous fournissons des solutions complètes et certifiées. Tous les sytèmes d’encaissement dédiés aux cafés, hôtels et restaurants que commercialise JDC S.A possèdent la certification NF 525.
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VIDEO. Un violent incendie détruit un restaurant-plage pendant la nuit
Le restaurant-plage « La Bagatelle », situé sur la plage de Pampelonne à Ramatuelle, a été ravagé par le feu dans la nuit de jeudi à vendredi.Un restaurant détruit par les flammes à Ramatuelle par Var-matinL’établissement étant vide de tout occupant au moment du sinistre, aucune victime n’est heureuse
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A l’heure où les consciences commencent tout doucement à s’éveiller pour lutter contre le gâchis alimentaire, le recours au « doggy bag » pourrait bientôt devenir un simple réflexe de bon sens.
Vous ne finissez pas votre assiette au restaurant? Le « doggy bag » se démocratise pour lutter…
A Nice, opération séduction auprès des restaurateursChaque année, 6500 tonnes de bio-déchets atterrissent dans les poubelles des restaurants de la Métropole Nice Côte d’Azur. Aussi, il y a deux ans, la Chambre de Commerce et d’Industrie a participé à une croisade anti-gaspi. « Dans le cadre du projet
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Photo – Lancement aujourd’hui de la première session de formation au CQP Commis de Cuisine avec nos partenaires, Pôle Emploi, l’APAVE, le FAFIH, dans la cuisine d’application de l’Auberge de la Tuilière à Carnoules.
Lancement aujourd’hui de la première session de formation au CQP Commis de Cuisine avec nos partenaires, Pôle Emploi, l’APAVE, le FAFIH, dans la cuisine d’application de l’Auberge de la Tuilière à Carnoules.
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