Photo – ÊTES-VOUS EN POSSESSION D’UN SYSTÈME D’ENCAISSEMENT CERTIFIÉ ? L’article 88 de la loi des finances n° 2015-1785 du 29 décembre 2015 sollicite tous les commerçants à s’équiper, avant le 1er janvier 2018, d’un système d’encaissement sécurisés et certifiés. A compter de cette date, le commerce ne répondant pas à cette obligation sera passible d’une amende de 7500 € par système ou logiciel non certifié et sera contraint de s’équiper dans les 60 jours. Si la conformité n’est toujours pas établie dans ce délai imparti, une amende de 7500 € sera à nouveau dressée dans les mêmes conditions. Outre la certification, une attestation individuelle délivrée par l’éditeur du système d’encaissement peut également accréditer de la conformité du matériel utilisé par le commerçant. Cependant, il est nécessaire de souligner que la réglementation relative à l’attestation individuelle est encore imprécise. Vous équiper d’un matériel certifié NF 525 reste la solution la plus sécurisante. Quel est l’avantage d’un matériel certifié NF525 ? Délivrée par AFNOR Certification, la marque NF 525 a pour principal objectif de faire reconnaître la qualité et la sécurité des produits, notamment au regard de l’inaltérabilité et la sécurisation des données enregistrées. Opter pour un système d’encaissement certifié NF 525, c’est avoir la garantie de disposer d’un matériel reconnu sur le marché, de qualité et conforme à la nouvelle réglementation fiscale. La certification a également l’avantage de lever toute suspicion. JDC S.A vous accompagne Nous vous fournissons des solutions complètes et certifiées. Tous les sytèmes d’encaissement dédiés aux cafés, hôtels et restaurants que commercialise JDC S.A possèdent la certification NF 525.
Photo – Projet de loi EL-KHOMRI : NON au renchérissement des contrats saisonniers 07/04/16 Certains amendements au projet de loi pour de nouvelles libertés et de nouvelles protections pour les entreprises et les actifs, actuellement en discussion en commission des Affaires sociales de l’Assemblée nationale, envisagent l’instauration d’une compensation financière pour les contrats saisonniers en cas de non-reconduction d’une année sur l’autre. L’UMIH s’inquiète de l’adoption d’un tel dispositif qui entrainerait l’accroissement des charges, la baisse de compétitivité, la diminution des marges et par voie de conséquence de l’investissement, pourtant primordial à l’avenir de nos établissements. Pourquoi imposer encore de nouvelles obligations aux employeurs de travailleurs saisonniers et compromettre la pérennité de ces entreprises saisonnières déjà fragilisées par le contexte économique actuel ? Le caractère saisonnier de nos entreprises n’est pas un choix mais une adaptation nécessaire à l’environnement, aux variations saisonnières et notamment à la situation géographique (stations de sport d’hivers, stations balnéaires…). Ces particularismes rendent les entreprises HCR plus sensibles que les autres aux aléas climatiques, économiques, politiques. C’est pourquoi notre profession a recours à des contrats saisonniers, qui ne sont pas une solution temporaire à un problème transitoire. Il ne s’agit en aucun cas « d’emploi précaire » mais cela correspond à un véritable métier qui représente 80%!d(MISSING)es effectifs de ce secteur saisonnier. De nombreux salariés et jeunes collaborateurs optent pour ce cadre de travail et y voient l’opportunité d’acquérir et enrichir leur expérience. Ce dispositif provoque une vive inquiétude et un tollé parmi les professionnels saisonniers. vouloir compenser le contrat saisonnier est irresponsable et immature, cela créera encore plus de précarité pour l’entreprise et pour le salarié par un effet domino de réduire la période d’ouverture et la durée du contrat saisonnier Si le Gouvernement soutient cette mesure, il prendra l’entière responsabilité des conséquences directes sur l’emploi et sur la fragilisation des entreprises ! ». Roland Héguy, Président confédéral de l’UMIH indique : « nous le répétons à nouveau, le tourisme est un fleuron de notre économie et nos entreprises participent pleinement à son dynamisme. Il est faux de croire qu’une compensation sur ces contrats saisonniers opèrera une transformation en contrat à durée indéterminée. Ce n’est pas en surtaxant nos entreprises que l’on créera de l’emploi et des richesses dans nos territoires ». L’UMIH demande aux députés de rejeter ces amendements lors de leur examen par la Commission des Affaires sociales.