Le président National des saisonniers de l’UMIH, principal syndicat hôtelier, s’insurge contre le traitement de faveur accordé au roi Salmane. Il espère que la privatisation de la plage de la Mirandole fera jurisprudence. À contre-courant de l’association des plagistes de Golfe-Juan, qui avait « regretté la polémique » née de la « privatisation pour raison de sécurité » de la plage de la Mirandole, Thierry Grégoire, président national de la branche « saisonniers » de l’UMIH (Union des Métiers de l’Industrie Hôtelière), s’indigne contre le « traitement de faveur » dont bénéficie le roi Salman. Il interroge: « Comment un sous-préfet peut-il justifier un arrêté autorisant une construction sur le domaine public inaliénable, même pour un roi? Juste à quelques mètres de plages privées qui, elles, sont sommées de détruire leurs installations pour lesquelles, elles ont eu un permis de construire? » L’UMIH planche sur la constitution d’un recours devant le tribunal administratif de Nice pour attaquer l’arrêté préfectoral autorisant les travaux sur la plage de la Mirandole, au pied de la propriété du monarque saoudien. Même si l’installation doit être démolie à la fin de l’été. « Pour nous, cela crée une jurisprudence. Finalement, cette dalle, c’est Noël en plein été! »
Le président National des saisonniers de l’UMIH, principal syndicat hôtelier, s’insurge contre le traitement de faveur accordé au roi Salmane. Il espère que la privatisation de la plage de la Mirandole fera jurisprudence. À contre-courant de l’association des plagistes de Golfe-Juan, qui avait « regretté la polémique » née de la « privatisation pour raison de sécurité » de la plage de la Mirandole, Thierry Grégoire, président national de la branche « saisonniers » de l’UMIH (Union des Métiers de l’Industrie Hôtelière), s’indigne contre le « traitement de faveur » dont bénéficie le roi Salman. Il interroge: « Comment un sous-préfet peut-il justifier un arrêté autorisant une construction sur le domaine public inaliénable, même pour un roi? Juste à quelques mètres de plages privées qui, elles, sont sommées de détruire leurs installations pour lesquelles, elles ont eu un permis de construire? » L’UMIH planche sur la constitution d’un recours devant le tribunal administratif de Nice pour attaquer l’arrêté préfectoral autorisant les travaux sur la plage de la Mirandole, au pied de la propriété du monarque saoudien. Même si l’installation doit être démolie à la fin de l’été. « Pour nous, cela crée une jurisprudence. Finalement, cette dalle, c’est Noël en plein été! »
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